J’aime à penser que tout ce que j’ai appris dans la vie, provient de personnes qui me l’ont enseigné. Et quand bien même les créations surgissent, elles proviennent d’éléments transmis par d’autres. Je vais même plus loin dans ma façon de penser : les plus grands génies comme Einstein n’ont pas hésité à confier que leurs plus grandes découvertes provenaient de l’intuition, qu’est-ce que l’intuition si ce n’est une source mystérieuse ?
Dans la tradition yogique existe une transmission de connaissances du yoga par lignée. Dans mon cas, j’ai été formée par une lignée de maîtres issus principalement de l’Himalaya. Mes maîtres sont : Sivananda et deux de ses disciples (Vishnudevananda et Satyananda), Caycedo, Nishala Joy Devi, Henri Miller.
Lorsque je me suis formée à la sophrologie, j’ai été frappée par la similarité du yoga et de la sophrologie et surtout par le non-sens de les séparer. Sans le savoir et sans s’en réclamer, les sophrologues sont beaucoup plus raja-yogis que les propres enseignants de yoga aujourd’hui. Je dirai même qu’ils sont maîtres dans l’art de calmer le mental, le but même du yoga sutra énoncé par Pantajali dans ses yogas sutras : « YOGAS CITTA-VRITTI-NIRODHAH. » La sophrologie représente une forme de pratyhara, la cinquième étape des yogas sutras de pantajali : le moment où le yogi prend conscience de son monde intérieur et en découvre les aspects les plus déroutants. Là siège entre autre l’inconscient dont nous a parlé Freud… bien connu des yogis bien avant l’heure. Dans pratyhara, grâce à la sophrologie et au yoga nidra, le pratiquant apprend à surpasser les opposés, le fameux raga dvesha dont parlent les yogis « j’aime, j’aime pas. »
La méthode que je propose aujourd’hui de YOGAsophro est là pour enrichir vos outils de sophrologues ou de professeurs de yoga… et de vous permettre de faire ce cheminement là également et plus encore. Je propose une réunion d’informations le 30 juin prochain en visio à 19 heures. Inscription par mail : yogasophroformations@gmail.com